Louis Martin, de Villechaise, dit « le vieux Louis » avait des boeufs fameux.
Il était par ailleurs surnommé « la couine ».
Divers témoignages convergent : Louis Martin aurait été surnommé ainsi à la suite d’une mésaventure.
Jeune – probablement enfant – il aurait voulu passer par une buse, dans un fossé, et se serait retrouvé coincé pour de bon.
Dans l’attente des secours qui mirent sans doute un certain temps à venir il aurait beaucoup « couiné »…
MR
le ^probleme est que je ne peux vous répondre en direct donnez moi vos coordonnées
les miennes
COURRIEL
suzeau.jean@wanadoo.fr
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Mr Suzeau, je suis moi-même originaire de la Nièvre et je m’intéresse à la culture de ma région.
Je fais des recherches sur le couteau des galvachers afin de m’en procurer un, mais je n’ai comme adresse que l’armurerie James à Autun (qui le fait produire à Thiers). Je n’ai pas de contacts dans l’autunois, auriez-vous l’adresse d’un artisan du morvan qui produirait encore ce couteau lui-même?
la « Couine »
sans doute le dernier des « galvachers »
les agriculteurs, charretiers et éleveurs , principalement morvandiaux et en grande majorité de Nievre et de Saone et loire des la fin des années 1880 partaient environ 6 mois a pieds au printemps et revenaient traditionnelement en automne à la saint » martin » avec leur paire de boeufs ( parfois 2 PAIRES )
des boeufs » rouges » de la race « barrée » dont il ne doit plus guère exister de spécimen a l’heure actuelle les derniers boeufs des » galvacher étaient des SALERS
les » galvachers » pas trace du nom semble t il dans les dictionnaires récents sans doute » gardien de vaches » A VERIFIER se louaient avec leurs boeufs pour des travaux de force essentiellement le débardage du bois dans des forets a forte déclivité
a l’aide de « siars » chars longs
les dernierds représentant de la galvache furent surtout actifs jusque dans les années 50
en particulier dans le » haut folin »
victime des tracteurs et des nouvelle sources d’énergie la profession à disparu
lorsqu’ile travailaient en groupe les galvachers encourageaient leur boeufs avec un chant patoisant appelé « le tiaulage »
nota :
Certains vieux joueurs de vielle interprétaient enoore « la bourrée des galvachers » la musique n’en a surement jamais été écrite ( tradition orale )
chaque galvacher avait dans sa poche un couteau typique » le galvacher » qui outre une lame principale large et légèrement recourbée possédait un tire bouchon ET UNE ALENE poinçon qui servait beaucoup a percer les harnais
ce fameux couteau est toujours commercialisé dans l’autunois
« la couine » devenu d’ailleurs sédentaire fut probablemen l’un des derniers galvachers