Pierre Pauchard était né en 1852, il est décédé en 1931.
Cet homme vivait à Villechaise, dans l’actuelle maison d’Elisabeth Duvernoy (la grand-mère d’Elisabeth, prénommée Marie elle-aussi, était une des soeurs de Pierre Pauchard).
Pierre est resté veuf assez tôt – en 1891, à 39 ans.
Il était surnommé le “Vieux Pa”.
Si l’on suit les données généalogiques en lien sur le blog (merci Annie), ce « Vieux Pa » avait un lien de filiation avec Etienne Doreau, petit garçon auquel son père – Pierre Doreau – s’adresse en 1914…
Lorsque Pierre Doreau évoque un “Vieux Pa”, il peut évoquer cet ancêtre commun – Pierre Pauchard, alors âgé de plus de 60 ans et grand oncle d’Etienne…
En effet, la mère d’Etienne – Lazarette, était sa nièce ; elle n’avait pas 30 ans en 1914 (Lazarette, fille de Jeanne Pauchard, née en 1849, et soeur de Pierre Pauchard).
Article de Ghislaine Marceau – août 2007
Le vieux Pa « est bien gentil » mais peu en harmonie avec le personnage.
Il est possible que certains l’aient appelé comme cela mais en fait il s’agit du « vieux Pierre des marchands » – personnage emblématique de villechaise extrêmement « roublard » et dur en affaires.
Né le 26/07/1851 à Glux, décédé le 15 octobre 1931 à Villechaise – officiellement à Glux – à 80 ans, père de Céline née en 1883 (ma grand-mère).
Il était l’époux de Lazarette Jeanne Maillot née le 2/09/1854 à Glux, décédée à 37 ans (tuberculose ) le 27/11/1891.
En raison de sa dureté en affaires il avait aussi été surnommé sur le tard – censure – « La vieille saloperie ».
Anecdote :
En 1910 au lieu dit « La comme » il a tué un lièvre, le fait a marqué à vie son petit fils Pierre Suzeau (mon père) alors âgé de 6 ans qui l’accompagnait.
Plus tard mon père a récupéré le canon de ce fusil dont j’ai hérité et que je possède encore a l’heure actuelle.