Scierie au Pré du Massé, juste après guerre, en 1946/1947.
En 1, Marcel “Dafi” ?, en 2 Pierre Baret, en 4 Raymonde Baret, en 5 le chef de chantier.
Près de la maison des Philippons. Coupe de hêtre ?
Roger Baret se souvient :
En 1941, je n’avais que 9 ans, nous vivions avec notre mère chez nos grands-parents (Edouard Félix et Francine Bondoux) au Pré du Massé, notre père ayant été fait prisonnier.
Geneviève Blanchot, ma cousine, se présenta à la maison avec M. Gzarnobroda, une personne de confession juive.
Pendant 6 mois, M. Gzarnobroda, que nous surnommions “Jacques”, est resté au Pré du Massé avant de pouvoir franchir la ligne de démarcation.
Tout le monde avait su garder le secret, ce n’est que récemment que “Jacques” a pu retrouver Roger et lui témoigner sa reconnaissance.
Louis Duvernoy dit le père Magnin a eu 9 enfants :
Gustave, Marie, Constance, Émile, Joseph, Jeanne, Joséphine, Fernand et Clémentine.
Originaire de Fâchin il s’est marié avec Pierrette Courrault.
Né probablement en 1855 (décédé en juin 1940).
Joseph est mort au début de la guerre de 1914, ainsi que le mari de Marie.
Émile, né en 23 juin 1893, décédé en 1961, père de Marguerite et Élisabeth Duvernois. Il avait des citations de la guerre de 1914 (7).
Gustave était le père d’Alice, mère de Christiane Blanchot ép. Baret. (son père Joseph Blanchot).
Clémentine avait 2 ans quand sa mère est morte.