01315 – “Les Bourbas” au milieu des années 1930

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“Les Bourbas” – actuellement “Hôtel des excursionnistes” – au milieu des années 30, cet hôtel tenu par M. Pauchard qui faisait partie d’un groupe de “villageois” de Villarpourçon, tenait lieu de point de ralliement pour les hommes qui voulaient prendre le maquis.

Ils se regroupaient durant la journée dans l’écurie dont on aperçoit la porte à droite de la façade (ils étaient jusqu’à 15, se souvient Monique Pauchard épouse Davaut), et attendaient la nuit pour passer au maquis en passant de l’autre côté du bâtiment.

00684 – La ferme des Moines à Villarpourçon – début années 1920

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Personnes identifiées sur la photo (de gauche à droite et de haut en bas) :

1    Henriette Bondoux
2    François Boulanger
3    Henriette Bondoux
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5    Henriette Dufraigne
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8    Joséphine Bondoux
9    Françoise Dufraigne

II y avait un crochet en bois pour le panier pour égoutter le fromage frais près de la porte à droite.

00677 – Fontaine du “crapaud” au château des moines à Villarpourçon – 1919

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Au château des moines (baronne Cottu)

La fontaine s’appelait le crapaud, la mare est derrière les personnages.

Henriette Bondoux revenait du lavoir. Il y avait une ferme à côté du château.

On voit bien que les manches sont retroussées. Les tabliers de Joséphine et d’Henriette (à droite) sont mouillés.

On aperçoit aussi un seau en bois. C’était sûrement l’époque où on faisait la lessive avec un cuvier (on faisait bouillir des cendres, le jus, on le passait sur le linge).

On installait une toile très serrée (un sarré) sur une cuve (le cuvier), on mettait le linge dessus, et on passait plusieurs fois le jus des cendres (on le chauffait à chaque fois) ; on emmenait ensuite le linge au lavoir pour le rincer. Cela concernait surtout les draps, les torchons.

Il y en a qui se lavaient la tête avec ce jus de cendre, mais cela brûlait.

Personnes identifiées sur la photo (de gauche à droite) :

1 Joséphine Bondoux
2 Henriette Bondoux
3 André Amestone
(Enfant de l’assistance élevé par Henriette Bondoux. Il a été élevé par les grands parents de Germaine Boulanger épouse Bernard, comme commis de ferme et il a été cantonnier à Villarpourçon).

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7 ? Graveau
(Fille du jardinier).
8 Henriette Bondoux
(Soeur d’Henriette Bondoux qu’on appelait Berthe (parce que son parain s’appelait Bert), elle, on l’appelait “iette”, diminutif).

Commentaires de Germaine Boulanger – août 2000